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«Langues à vif, dialectes oubliés, latin animal, grec de cirque, patois en perdition ou néologismes jaillissants : le langage de Valère Novarina est singulier. Du Discours aux animaux à L’Origine rouge, du Drame de la vie à L'Opérette imaginaire, il donne à voir le verbe théâtral comme substance charnelle, parfois douloureuse, souvent comique. Que voit-on sur scène? Les acteurs chutent. Souffrent-ils vraiment? La passion qui s’offre devant nous est-elle celle de l’acteur ou du langage? La parole est-elle notre matière véritable – comme le bois pour Pinocchio? Sommes-nous en mots comme les pantins sont en bûches? Sommes-nous les jouets de ce que nous entendons? Comment se développe et s’explique dans l’espace, comment se déplie le tissu respiré du langage? Comment le spectateur se souvient-il de l’envers des mots et toujours du négatif de la scène précédente? Pourquoi l’acteur entre-t-il? Que voit-on dans le langage? Rien? Toutes les choses? Est-il notre chair? Est-il la matière même? Le langage est-il l’Acteur de l’Histoire? Retournant sur les lieux de L’Origine rouge, Valère Novarina poursuit et précise sa recherche d’un théâtre où le spectateur et l’acteur seraient agis par la force “hallucinogène, salvatrice et terrifiante” des mots – et où sur scène, par instants, la parole se verrait.» Pierre Notte.