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Il est dangereux de parler de Dieu. Qu'Il existe ou non, Il n'est pas le concept évanescent auquel nos arrière-grands-pères éclairés daignaient concéder une présence fantomatique. Le mot camoufle des forces puissantes, lumineuses ou obscures. Il ne faudrait pas le prononcer à la légère.
Si un ordre supérieur à mon individualité existe, cet ordre doit pouvoir être conçu dans l'ordre inférieur où je me situe. L'individu conscient, infiniment petit, doit pouvoir concevoir l'infiniment grand. Quel que soit l'ordre concevable, l'ordre supérieur doit être imaginé dans l'ordre inférieur. L'individu renvoie ainsi à l'univers, ou à Dieu et l'univers ou Dieu à l'homme. Chaque être humain, à l'instant même où il s'éprouve comme « quelqu'un », devient en quelque sorte un point focal de l'univers, un être métaphysique. Le réel, pour nous, est d'abord ce que nous ne pouvons pas nier. Or s'il y a une chose que nous ne pouvons pas nier, c'est notre conscience individuelle. C'est donc d'elle qu'il faut partir, modestement, pour s'interroger sur Dieu.