Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
« Il eut suffi qu’un des proconsuls ou des généraux chargés d’étoiles qui occupaient les résidences d’Outre-Mer se prononçât pour la poursuite de la lutte et il n’y aurait pas eu de Gaullisme... » « La Résistance, si on ne tenait pas compte des pseudo-résistants de novembre 1944, des Tartarins de sous-préfecture et des agents du double jeu, n’était le fait que d’une infime minorité... » « Une constante escalade dans l’invective, puis dans les coups, aggravée par l’intransigeance du Général et l’obstination du Maréchal, fit dériver de plus en plus loin les deux fractions de la France. » « L’institution de tribunaux d’exception est toujours exécrable. De Gaulle devait montrer à plusieurs reprises dans sa carrière un goût singulier pour cette caricature de justice. » « De Gaulle n’était pas candidat. « Vous me voyez, me dit-il, mettre mon chapeau dans ma petite armoire au vestiaire du Palais Bourbon ? » « Georges Bidault disait un jour en parlant du général : « Je n’ai jamais vu personne prendre autant de mouches avec du vinaigre ». » « En conseil des ministres, le général de Gaulle à M. Antoine Pinay : « M. le Ministre des Finances, cette question n’est pas de votre ressort ». — « Monsieur le Président, je suis solidaire de mes collègues et de tout le gouvernement. J’estime avoir le droit d’exposer mon point de vue. » — « Non, moi seul détermine la politique. » Sur quoi Antoine Pinay prit son fameux chapeau et s’en alla. » « Les conseils des ministres, tels que je les ai connus, ne sont qu’une figuration. Il n’y a pas de débat. Chacun parle à son tour, comme dans la petite classe. Le magister conclut d’un mot... »