Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Comment dire aux femmes : " C'est merveilleux de vieillir ! " quand depuis leur plus jeune âge on les met en garde contre les rides et les cheveux blancs ? Quand le spectre de la vieille peau continue de hanter tous les esprits ? Quand, passé quarante ans, les femmes disparaissent littéralement de nos imaginaires, de nos livres et de nos écrans ? Face à ce paradoxe féministe, l'autrice et militante Fiona Schmidt a décidé de prendre le sujet à bras le corps. Plutôt que de vanter les mérites d'une vieillesse fantasmée, de donner des conseils pour " bien veillir " et de fliquer les abus de botox, elle décortique la honte, les humiliations, les silences qui collent au corps des femmes, le double standard sexiste qui pèse sur leur vie, leur sexualité ainsi que leur carrière, et nous entraîne dans une odyssée intime, culturelle et sociale terriblement libératrice où l'on pourra croiser, entre autres, Kim Kardashian, Angelina Jolie, Susan Sontag et Simone de Beauvoir. Sous sa plume drôle et émouvante, " vieille peau " n'est plus une insulte mais un état d'esprit dont nous pouvons toutes et tous nous emparer, jeunes et moins jeunes, non plus pour réfléchir à ce que le temps qui passe nous inflige mais à ce que nous allons bien pouvoir faire du temps qu'il nous reste !