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En 629, le moine bouddhiste Xuanzang part pour l'Inde, autant pour marcher sur les traces du Buddha que pour approfondir sa connaissance des textes et des idees developpees par les diverses ecoles du bouddhisme. Il revient seize ans plus tard, ayant acquis une reputation de savant inconteste, et se consacre alors a la traduction de plus de soixante-dix ouvrages du canon qu'il a rapportes, apres avoir redige, a la demande de l'empereur, la description des pays qu'il a visites. Son voyage, emaille de peripeties, fournira le theme de l'un des quatre romans majeurs de la litterature chinoise, le Xiyou ji ou la Peregrination vers l'Ouest. Parfaitement instruit dans la langue sanskrite, Xuanzang se revele comme un maitre de traduction incomparable qui ne sera pas surpasse. Plusieurs biographies de Xuanzang furent redigees par des disciples. La plus importante, qui fait l'objet de la presente traduction, est d'abord due a Huili qui, des la disparition du maitre ou peut-etre meme des son retour en Chine, se chargea de la periode de formation et surtout de voyage. Plus de vingt ans apres la mort de Tripi?aka, " Trois Corbeilles " (selon le surnom que l'on donna a Xuanzang), Yancong ajouta une deuxieme partie correspondant a sa vie de traducteur et aux relations qu'il entretint avec les empereurs, en se fondant sur des echanges epistolaires, requetes, memoires ou adresses dans le cas de Xuanzang, decrets dans le cas des souverains.