Théâtre, cinéma, opéra, télévision, littérature... Mais qui est donc Daniel Mesguich ? Un comédien d'exception, sur les écrans et sur les planches, qu'il brûla sans complexe dès l'âge de 21 ans dans Le Château d'après Kafka, mis en scène par ses soins.Les auteurs qu'Il monte, d'Euripide à Claudel, sont les classiques d'hier (Shakespeare, Racine, Marivaux, Kleist, Tchekhov...) ou d'aujourd'hui (Sartre, Duras, Brisville, Dubillard, et Hélène Cixous). Il a aussi fait la mise en scène d'une quinzaine d'opéra, parmi lesquels Le Grand macabre de Ligeti ou le Ring de Wagner, a dirigé, outre sa compagnie, deux grands théâtres nationaux et, depuis 2007, le Conservatoire national supérieur d'art dramatique.Acteur inaltérable, metteur en scène effervescent, auteur audacieux, Daniel Mesguich est tout cela.Au fil de ces entretiens, il évoque notamment son enfance à Alger, ses premier émois de théâtre à Marseille, l'exemple de Gérard Philipe ou d'Antoine Vitez, sa découverte de Tintin, Sartre, Camus, Brassens, Ferré ou Bob Dylan, mais aussi bien de Borges ou de Derrida, ses festivals d'Avignon, son expérience à la télévision, les vertus comparées de l'Opéra de Paris et celui de Pékin, ses rencontres avec Ariane Mnouchkine, François Truffaut, James Ivory, et Alain Robbe-Grillet, ou encore son enseignement au Conservatoire .
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