L'intensité des mots métamorphose le regard. Tandisque chaque texte scelle la page, son écho fait éclore un doute : ne serait-il pas né du lecteur qui l'attendait sur une rive déserte ?
En lisant Roselyne sibille je n'ai pas de poèmes élus. tous se tressent comme "une extase piquetée d'étoiles", conduits par une mer inlasable, "ultime gardienne". chacun d'eux prend ma main, me guide puis s'immobilise, faisant place à de nouveaux signes réanimant la sente vers le sommet...
Jamel Eddine Bencheick
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