Rémi Checchetto apprend à cette langue de terre à parler la langue d'aimer. Nathalie Geoffray de Calbiac capte les caresses de la lumière sur les flancs mouillés de l'île et la toison dorée des prés salés. Nous voilà pris dans un souffle immense où comme l'écrivait Pierre Siré, au siècle dernier : « On se demande si l'île existe, si elle n'est pas emportée, si cette côte basse, à l'ouest, est vraiment immobile, si tout ce qu'on voit ne se dérobe pas comme un vertige avec le vent et le courant... »
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