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« Depuis des années, j’entends qu’il faut se méfier des idées simples, du rêve, du bonheur, car le réel est complexe (aucune idée ne peut y être un chemin sûr), opaque (aucun rêve ne peut l’éclairer ou l’élargir) et fatal (aucun bonheur ne peut résister à la mort). Il est difficile de s’opposer à cette prudence lorsqu’on sait à quelles aberrations religieuses, sociales et politiques s’expose quiconque entreprend de changer la vie et le monde sans accepter ses limites. Si on oublie que nous ne savons rien et que nous sommes mortels, la vie et la culture qui s’en fait l’écho ne manquent jamais de nous le rappeler : je sais que je ne sais pas, le mieux est l’ennemi du bien, l’homme est un loup pour l’homme, etc. Si en écrivant ce livre j’ai été amené à prendre le contre-pied de cette sagesse, c’est que j’ai essayé d’obéir à cette idée simple, énoncée par Hermann Broch, que le premier devoir de l’intellectuel, dans l’exercice de son métier, est de porter assistance à autrui. » Y. R.