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Après une réflexion novatrice sur Vienne occupée par les troupes impériales en 1806 (Vienne sous le soleil d’Austerlitz), qui met à bas l’empire des Habsbourg, voici le second volet de cette réflexion profondément originale sur l’histoire de l’empire napoléonien hors de France, et sans Napoléon. Dans le contexte européen du XVIIIe siècle, l’importance culturelle et économique de Naples, malgré son statut de royaume de second rang, est évidente. Or malgré les efforts des souverains du royaume napolitain, Ferdinand IV et Marie-Caroline, pour maintenir leur indépendance face aux ambitions de Napoléon, l’Empereur entend faire du royaume de Naples non seulement le laboratoire de sa politique progressiste, mais aussi un terrain d'implantation de familles françaises, dont le rôle sera bien entendu d'encadrer les populations et les élites locales. Les Napolitains n'ont pas leur mot à dire, ni sur le choix de leurs institutions, ni sur le découpage administratif qui leur est imposé ; seuls le fatalisme, la résilience, l'habitude d'être gouverné par des dynasties étrangères plus ou moins lointaines leur permet de prendre ces changements avec un certain détachement : cette présence française est-elle faite pour durer ? Nombreux sont ceux qui pensent que non, même si, au printemps 1806, Napoléon semble atteindre le point culminant de sa puissance.