Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Après des études de droit et un emploi dans une organisation internationale à Genève, Ethel Groffier quitte sa Belgique natale pour s’installer au Québec à la fin des années 60.
Un pays selon mon cœur retrace les entretiens qu’a eu Éthel Groffier avec le philosophe Georges Leroux. Ces derniers mettent en lumière le parcours fascinant d’une juriste remarquable, essayiste et humaniste. Le récit de sa vie offre un regard sur la société québécoise, son évolution et ses débats, du point de vue d’une immigrante qui a choisi Montréal comme port d’attache et qui s’est fortement impliquée dans la défense de la culture et des institutions du Québec.
Première femme professeure à temps plein de la Faculté de droit de l'Université McGill, elle y mène des recherches sur l'évolution du droit et de la terminologie juridique. Ses essais dans le domaine de l'histoire des idées, sur des sujets allant de l'encyclopédisme à l'appropriation culturelle, en passant par la crise de l'enseignement supérieur, illustrent sa défense d’une société québécoise ouverte sur la différence et sur le monde, au-delà des clivages identitaires.
Son message est double : d’une part, une immigration réussie exige du temps, de la patience et de la bonne volonté tant des nouveaux arrivants que de la société d'accueil ; d’autre part, l’indépendance du Québec ne se ferait de façon heureuse qu’avec un projet social qui en ferait une oasis au milieu d'un océan de néolibéralisme.