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Les Tsiganes ne se laissent pas volontiers approcher. Marie-Jane Natali-Listera qui, en toutes ses démarches - en témoigne son précédent livre : « Corse, terre de liberté » -, ne se veut guidée que par le cœur, a réussi à pénétrer dans ce monde que masque un voile de mystère. Elle a voulu sinon vivre du moins savoir ce qu’était l’existence de ces éternels « fils du vent, » aujourd’hui comme hier, bien que d’autres manières, pourchassés. La sédentarité à laquelle on veut les contraindre ne peut réellement leur convenir : ils ont besoin d’espace…, de liberté… - de nos jours les denrées les plus précieuses, parce que les plus rares. « Contraindre les Tsiganes à se fixer, c’est comme atteler le lion à la charrue. » Cette réflexion du Dr Louis Krasno, éminent cardiologue américain, lui-même d’origine tsigane, éclaire le débat. Le témoignage de Marie-Jane Natali-Listera se veut, dans ce même débat, un document spontané, émouvant. Tous les personnages approchés, écoutés, tous les lieux décrits, des Saintes-Maries-de-la-Mer dont un pèlerinage est évoqué dans ces moindres détails, au camp-village de la Jaunaie, en Mayenne, sont authentiques. Avec force, elle dénonce les violations des droits de la personne dont sont victimes ces « marginaux » sans défense. Avec pudeur, en se gardant de porter des jugements péremptoires sur ces hommes étranges qu’elle considère aujourd’hui comme ses amis, elle rend hommage à ces « fils du vent » que la civilisation actuelle voue à une sédentarisation qui équivaut à une disparition. En ces temps où la discrimination se trouve banalisée, Marie-Jane Natali-Listera proclame, au nom de ses amis tsiganes, le droit au respect de leur « différence ». C’est dire l’actualité de ce livre.