« Nichés dans leur coulée de verdure, les Touquais n'en étaient pas moins actifs et travailleurs. Ici les menuisiers et les tonneliers s'affairaient pour fabriquer les tonneaux que rempliraient bières, vin, cidre et calva que l'on pressait là, à deux pas. Marchés, foires, louée des journaliers pour les récoltes ou pour l'entretien de fermes et de haras, Touques fourmille d'activités diverses, pour la plupart agricoles, à la différence de ses voisines Deauville et Trouville, tournées vers le luxe, le tourisme et la pêche. Toutefois, la ville séduit déjà les visiteurs qui ne résistent pas à son charme tranquille et s'y font construire de belles villas ou de coquets manoirs de style normand. »
Au fil d'une centaine de cartes postales anciennes, Jacques Sellier et Françoise Surcouf nous racontent Touques à la Belle Époque.
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