« Je ne prends pas la testostérone pour me transformer en homme, mais pour trahir ce que la société a voulu faire de moi, pour écrire, pour baiser, pour ressentir une forme de plaisir post-pornographique, pour ajouter une prothèse moléculaire à mon identité transgenre low-tech faite de godes, de textes et d'images en mouvement, pour venger ta mort. »
B.P.
Récit autopornographique et analyse de la production du corps à l'ère pharmacopornographique, Testo Junkie transgresse les limites traditionnelles de l'essai philosophique. La politique queer y pénètre la théorie, comme la testostérone se glisse dans la peau.
« ... Un regard extrêmement fin sur le régime post-industriel, global et médiatique. Certainement un des essais les plus radicaux et passionnants de ces dernières années. »
José Andrés Rojo, Babelia, El País
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