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Le tatouage japonais est un art à part entière, considéré comme l'un des ornements corporels les plus accomplis au monde. Sa pratique remonte à la période d'Edo (1603-1868) et a évolué vers une ornementation toujours plus élaborée et riche de figures symboliques. Ce chemin esthétique est l'indice d'une société valorisant la force et le courage et le signe d'une contestation silencieuse, dans une société contrainte par le shogunat des Tokugawa. Le tatouage s'intègre alors à la culture de l'estampe, du livre et du théâtre kabuki. Mais la prohibition du tatouage à la fin du XIXe siècle efface en partie la mémoire de ce phénomène. Après les années 1960, le cinéma s'empare de cet héritage et en associe durablement l'image aux yakuzas, les membres des bandes du crime organisé. C'est pourquoi dans l'imaginaire collectif, au Japon (et ailleurs) le tatouage demeure encore associé aux gangs et à la défiance envers le pouvoir. Ce volume qui accompagne une exposition exceptionnelle retrace quatre cents ans de cet art de l'éphémère, dont les codes d'hier inspirent encore ceux