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Voici donc notre siècle, vu d’un pont hanté par les corbeaux(1)... I - éclairs = à la lueur de la foudre, le poète scrute notre temps : Camps de déportation (Ravensbrück), famines (Biafra), guerres civiles (Espagne) ou militaires (Viêt Nam), pollution (Hiroshima-le-dernier-homme), etc. II - Nuit et brouillard = conséquences humaines de tout cela ? Partout le désespoir et la mort des hommes. Le titre de cette deuxième partie est tiré du nom d’un plan d’extermination hitlérien. III - Aurore = les hommes vont-ils tourner sans fin dans les tourbillons de la fatalité ? Le poète répond d’abord en fredonnant des comptines... Car, pour celui qui est allé de l’autre côté de la mort, nos danses macabres ne sont pas autre chose que des rondes enfantines. Mais que jaillissent les chants de la révolte ! Prométhée, les frères-loups nous arrachent à la ronde infernale : ô poésie, espoir et joie ! Voici venir l’aurore et, devant nous, se dresse encore l’Arbre de Vie. 1 « Le pont des corbeaux » est une interprétation poétique du nom de Ravensbrück (Die Raben = les corbeaux ; die Brücke = le pont).