Ce court récit, comme le précédent intitulé Stèle pour l'absent, est l'histoire torturée d'une rencontre avec la mort. Pour Stèle pour l'absent, Alain Gorius avait demandé à une romancière, Vénus Khoury-Ghata, de rêver à ses côtés sur les pierres historiées laissées derrière eux par les croisés, retour de Terre Sainte. Pour Sur la haute tour elle était nue, le présent récit, l'auteur demande à une poétesse mâtinée de philosophe, Etel Adnan, de dégager, de temps en temps, par un bref commentaire intercalé, la morale du film en train d'obséder sa conscience tout enténébrée d'un inconscient agissant, et en quête d'images premières...
Salah Stétié.
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