Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Stef marche pieds nus sur une plage bretonne. Aujourd’hui un enfant, demain un homme. Il avance et sa marche n’aura pas de fin ; il y aura toujours des Stef obstinés à chercher un bonheur qui les fuit. Toujours des Vieux comme le Père, pour se battre avec les goélands dans leur délire d’ivrognes. Des veuves comme Mâram, que leur solitude trouble et qui se penchent sur un enfant pour oublier. Des épiciers honnêtes pour défendre leur bien contre ceux qui ont faim. On a envie de prendre Stef par la main, pour l’empêcher de commettre le geste qui décidera de son existence. Mais on est toujours seul quand on s’appelle Stef. Seul malgré Patrick qu’on aime et qu’on lèche comme un chien fidèle. Malgré Nine, la petite bourgeoise, qu’on voudrait retenir et chasser à la fois. Malgré la Vieille, enfin, qui rêve et qu’on écoute, blotti contre elle, en faisant le chat. On est toujours seul quand on s’appelle Stef et qu’on a un Vieux. Seul avec les goélands. Alors, un jour...