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Si vos tripes se nouent au seul mot d’araignée, si vous hésitez entre indifférence, répulsion et attirance, si vous êtes mortifié(e) d’avoir peur, alors acceptez de regarder en face un animal dérangeant, peu communicant, il est vrai, mais sujet exceptionnel pour la recherche scientifique et l’inspiration artistique. Comptines, fables, peintures, ballets, bijoux lui doivent nombre d’oeuvres. Essayez seulement de trouver une chanson enfantine sur le cloporte… Quand on enlève le grappin des pattes, il ne reste pas grand-chose, juste un corps pas plus gros que celui d’une grosse mouche, dodu, habillé de velours comme un ourson. Mais les pattes, qui lui permettent de foncer plus vite qu’un rat, donnent à la bestiole une dégaine aussi admirable que terrifiante. Donc, la phobie des araignées tiendrait à l’organisation de la bête plutôt qu’à la peur de la morsure : sa tournure elle-même trouble et fait peine à voir. Allons, du courage ! Elle ne tue que ce qu’elle peut manger, certainement pas vous, ce qui vous laisse le temps de lire l’hommage que j’ai voulu rendre à une bête singulière.