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Ce texte enseigné par le Bouddha est essentiel dans le bouddhisme sino-japonais : il énonce et explique les règles de la discipline des bodhisattvas, les adeptes de l’esprit d’Eveil, cette vision du monde qui unit la compassion et la connaissance de la vacuité universelle. Dans le premier livre, le Bouddha revêt un aspect «absolu» pour enseigner l’irréalité de toutes choses, y compris des «valeurs morales», qui sont toujours relatives, de même que la nécessité de l’apparence du bien. Dans le livre II, ses enseignements prennent la forme de règles de discipline qui constituent en fait la pratique de l’union de la compassion et de la vacuité. Dix fautes extrêmement graves (tuer, voler, forniquer, etc.) peuvent détruire l’esprit d’Eveil du bodhisattva jusqu’à sa vie suivante. Quarante-huit fautes «moins graves» (manger de la viande, etc.) forment autant de souillures dont il est possible de se purifier sans attendre.
Le Soûtra du Filet de Brahmâ est un manuel de théorie et de pratique de l’esprit d’Eveil en même temps qu’un «disciplinaire» pour la confession bimensuelle des adeptes du Grand Véhicule du bouddhisme.
La traduction ici présentée a été réalisée à partir de la version chinoise de ce texte, due à Kumârajîva (traducteur du Soûtra de la Liberté inconcevable). Daté de l’an 402 de notre ère, il s’agit d’un autre classique du bouddhisme chinois peu connu en Occident.