Une guerre extraterrestre à travers l'espace et le temps...
« Les Xeelees possédaient l'univers... Quand les hommes avaient émergé du système solaire en se traînant à vitesse subluminique sur les premiers vaisseaux GUT, ils étaient entrés dans un environnement complexe peuplé de nombreuses races intelligentes dont chacune obéissait à ses propres impératifs et poursuivait ses propres buts. [...] Moins de deux siècles après l'époque de Michael Poole, la Terre était conquise, puis transformée en camp de travail par les gestalts aquatiques que les humains avaient appelé les Squeems. [Mais] où que les hommes et les races qu'ils avaient rencontrées regardent, ils voyaient l'empreinte des Xeelees. Se tenant à l'écart de l'univers, ils évoquaient des dieux : indifférents à tout, concentrés sur leurs vastes oeuvres et leurs mystérieux projets... »
Si Singularité est le deuxième volet des « Xeelees », il peut se lire, à l'instar de l'ensemble du cycle, de façon indépendante. Space opera débridé, ce roman cristallise à merveille le vertige propre au meilleur de la science-fiction, une sidération palpable face à la mise en perspective d'un futur peuplé de merveilles et d'étrangetés.
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