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Octobre 1990 : la disparition du pasteur Doucé prélude à une série de scandales mettant en cause la « dérive » des Renseignements généraux. Ces mystérieuses initiales R.G. désignent-elles un simple instrument de surveillance nécessaire au bon fonctionnement démocratique de notre système républicain ou camouflent-elles une police de l'ombre au-dessus des lois ? Convaincu que les fantasmes collectifs se nourrissent du secret qu'on leur oppose, un grand patron des R.G. décide ici, pour la première fois, de témoigner. L'homme de confiance de Marcellin auquel on a attribué nombre des « coups tordus » de la Ve République, le fonctionnaire qui arrêta notamment Alain Geismar et Gérard Nicoud, raconte ici sans fard ni forfanterie ses vingt ans de police politique. De la lutte contre l'O.A.S. dans les années 60 au combat contre les groupuscules d'extrême-gauche après 1968, de la surveillance des petits commerçants en colère ou des écologistes en rebellion à l'affaire Claustre, des activités quotidiennes aux « missions spéciales ». Jacques Harstrich lève le voile sur les moyens et les méthodes des R.G. Infiltration de « taupes », manipulation d'informateurs, visites domiciliaires, écoutes téléphoniques, micros clandestins, détournement de correspondances : rien ne nous est caché des pratiques usuelles d'une police politique entrée dans l'ère du soupçon. La fin justifie-t-elle l'emploi de ces moyens ? Au lecteur de juger...