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La réflexion sur la pensée du bonheur n’a jamais cessé. Pourtant, aujourd’hui, si l’idée et l’aspiration à une vie meilleure transcendent le temps et l’espace, ces données ne suffisent plus à nourrir la notion de bonheur. Serions-nous devenus nos propres tyrans, assiégés par l’idéologie environnante, recherchant l’efficacité et contraints à la recherche du plaisir, de la performance ? Tout est organisé — essais, discours, films… — pour que nous soyons écartelés entre rêve de bonheur et brutalité de l’existence. Illusion et désenchantement. Si la réalisation des désirs est contrariée par l’échec devant la réussite, il n’y a pas d’apaisement et la douleur psychique reste intense. Le bonheur est devenu un impératif collectif, un devoir, une obligation telle que son absence serait ressentie comme une blessure béante. N’est-elle pas devenue culpabilisante, cette idée du bonheur, si on ne la réalise pas ? L’idée de bonheur serait-elle tributaire d’un sentiment de culpabilité inconsciente ?