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François Ravard est un électron libre. De la folle aventure Téléphone aux Stades de France des Insus, en passant par les iconiques Marianne Faithfull, Serge Gainsbourg, Jean-Pierre Mocky ou Les Rita Mitsouko, il raconte son incroyable parcours en forme de montagnes russes, avec l’aide de son ami Philippe Manœuvre.
Backstage, je découvre que les quatre fabuleux (Corine, Jean-Louis, Louis et Richard, faut-il le rappeler) ont un succès aussi énorme que mérité, mais aussi un truc plus incroyable encore dans notre petit monde : un manager, le dénommé François Ravard, le cinquième Téléphone. Sanglé dans son Perfecto, François est déjà un garçon fascinant, plus jeune que les musiciens pour qui il se démène. Dans l’ombre, Ravard fait le job, un œil sur le modèle british, un autre sur le groupe. François était un magicien… Mais voici le point fort de tous ces vieux souvenirs en vrac qui m’assaillent le cortex : Ravard et moi ne nous sommes jamais perdus de vue. Et plus d’une fois, c’en était devenu un gag récurrent lors de nos déjeuners amicaux, Ravard ressortait sa vieille blague des années Téléphone : « De toute façon, un jour, tu écriras ma biographie. »