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En 1960, le producteur Raoul Lévy est considéré comme le Napoléon du cinéma français. Il a trouvé la gloire et la fortune en lançant Brigitte Bardot. Et Dieu créa la femme, En cas de malheur, La vérité : c’est lui. Devenu un personnage clef de la vie parisienne, Raoul Lévy défraye une première fois la chronique, en voulant mourir pour Jeanne Moreau dont il est éperdument amoureux. Pour oublier cette passion, il se jette à corps perdu dans un projet grandiose et chimérique : « Les aventures de Marco Polo ». Et il perd tout. Au bout du rouleau, il se tire (accidentellement ?) un coup de fusil dans le ventre, le 31 décembre 1966, à Saint-Tropez. Fichu réveillon. Trente ans après, ses amis regrettent encore ce personnage impétueux et mégalo, colérique, visionnaire, cocasse, mais terriblement séduisant. De Anvers à Hollywood, de Katmandou à Venise, Jean-Dominique Bauby tente de rattraper cet homme si pressé qu’on l’avait baptisé Raoul « Jet » Lévy. Il nous parle de cinéma, mais aussi de la Royal Air Force, de collections de tableaux, d’éléphants affamés, du twist, de l’Austin Cooper et du tout nouvel aérogare d’Orly. Avec, en prime, une grave question : pourquoi se jette-t-on dans le vide quand on est parvenu au sommet ?