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François Lenglet l’a dit : si rien ne change, François Hollande sera le président du retour au franc. Il n’y a, dans ce pronostic, aucune fascination morbide pour le désastre, et pas davantage de l’exagération qu’affectionne le romantisme pro-européen. C’est tout simplement du bon sens. Voici l’étrange constat qui se fait jour. Alors que l’euro, ce « Frankenstein financier », comme l'appelle l'économiste Charles Gave, vient de fêter ses dix ans, jamais les pays de la zone euro n’ont connu de tels écarts de croissance ou de chômage les uns par rapport aux autres. Notre monnaie, loin de favoriser la convergence que l’on imaginait, déchaîne au contraire les forces centrifuges, désarticule la scène politique européenne et alimente le ressentiment des nations. Lors de chaque « sommet de la dernière chance », les chefs d'Etat et de gouvernement jettent à la mer des centaines de milliards, pour tenter de sauver des pays qui ne peuvent pas l'être. Cet argent ne sera jamais remboursé. Il alimente une montagne de dettes dont la taille est sans précédent dans l'histoire, hors temps de guerre. Et il menace de nous précipiter dans l'une des pires crises financières, ruinant les épargnants et les Etats. La terrible situation que montre François Lenglet n’est pas le fruit du hasard. Depuis vingt ans, la cisaille des traités européens décapite les économies. Les cassandres et les optimistes s’agitent en tout sens. Pourtant, les solutions sont là et ce livre les expose.