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Un soir d’octobre 2022, la professeure et romancière Catherine Mavrikakis accueille à l’Université de Montréal deux écrivains qui se connaissent à peine: Mathieu Bélisle et Alain Vadeboncoeur. Ils sont invités à parler de la mort, de ce que la pandémie nous a révélé à son sujet, chacun à partir de son expérience, celle de la médecine et des sciences pour Vadeboncoeur, celle de la littérature et des humanités pour Bélisle.
La discussion s’engage, teintée d’humour et de tragique, et passe tout naturellement d’une question à l’autre, traitant des mille et un sujets qui font la vie et donnent un sens à la mort: la famille et la filiation, le passé et le présent, l’amour des livres et des idées, la maladie et l’agonie, les rituels et la religion. Plus tard viendra l’idée de la mise en livre, processus pendant lequel chacun des auteurs affinera et étoffera son propos.
Le dialogue entre Alain Vadeboncoeur et Mathieu Bélisle se lit comme un texte de théâtre. La parole s’essaie, littéralement, les protagonistes hésitent et se reprennent, se contredisent et argumentent, s’amusent et s’interrogent, cherchant avec rigueur et sans complaisance à comprendre la mort et ce qu’elle peut représenter.
Surtout, ce livre fait la preuve que pour donner un sens aux êtres et aux choses, quelqu’un, quelque part, doit parler.