Pendant des années, il n'y en a eu que pour les néolibéraux.
Leur credo : privilégions l'intérêt individuel, ce sera tout bénéfice
pour l'économie et le bien-être de la population. Contester
ce message était considéré comme de l'hérésie moderne.
Mais la crise financière a renversé ces vaches sacrées.
Banques et entreprises viennent tout à coup frapper
à la porte de cet État maudit pour quémander de l'aide.
Nous sommes à l'aube de temps agités. Chômage ?
Flexibilité ? Les pensions et les allocations de chômage
à la baisse ? Démantèlement des services publics ?
Alors quoi ? Exactement les mêmes recettes après
qu'avant la crise ?
Priorité de gauche donne une voix à ceux qui vivent la crise
dans leur chair. Il part du coeur de la société. Il avance des
mesures simples et réalistes : une vraie banque publique, pas
de licenciements dans les entreprises qui font des bénéfices,
une diminution de la TVA sur le gaz et l'électricité, le modèle
kiwi pour des médicaments moins chers.
«Aujourd'hui, nous sommes tous socialistes», affirmait
récemment le magazine Newsweek. «Priorité de gauche»
nous emmène au-delà du socialisme d'un jour. Il avance des
pistes rouges pour un socialisme sans maux bleus. Des pistes
pour une société à la mesure des gens. Des pistes de débats,
des pistes de changement.
Avec une postface sur le Parti socialiste francophone.
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