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S'appuyant sur des affaires récentes (Outreau, Alègre-Baudis, Outreau, Grégory?), Georges Fenech s'interroge sur les relations troubles entretenues par la justice et les médias, et fustige la collusion entre ces deux pouvoirs dont l'indépendance est censée assurer la transparence. Mieux : il démontre comment, au mépris de la vie privée et de la présomption d'innocence, ces rapports incestueux mettent en péril l'indépendance de la presse comme de la justice. Georges Fenech analyse la part de responsabilité de ces instances qui peuvent se transformer en une machine à broyer les individus. Il mène également une réflexion sur les causes de leurs dérives (exigence toujours croissante de productivité, pression de la concurrence, etc.) La justice doit-elle être dictée par les autorités politiques ou est-elle l'expression de la société jusque dans ses réalités les plus sombres ? Georges Fenech compare le droit français aux droits étrangers, et décrit l'exercice de la justice telle qu'elle est réellement pratiquée et telle qu'elle devrait l être. Il formule enfin dix propositions pour protéger les citoyens des abus de pouvoir, rendre la justice plus transparente et, du même coup, les médias plus libres.