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Dans un essai stimulant, documenté et impertinent, Samuel Fitoussi livre une réflexion universelle sur la fragilité de la raison humaine et la faillibilité de nos élites. Pourquoi les esprits les plus brillants adhèrent-ils si souvent à des idées régressives ? Comment expliquer l’hostilité des intellectuels à l’égard des démocraties dans lesquelles ils habitent ? Leur complaisan-ce pour le totalitarisme ? Pourquoi certaines idées exercent-elles un tel pouvoir de séduction sur l’intelligentsia ? C’est à ces questions, et à beaucoup d’autres, que répond Samuel Fitoussi. L’auteur dissèque ces mécanismes sociaux, culturels et cognitifs qui conduisent les intellectuels à l’aveuglement, souvent au détriment de la société qu’ils prétendent éclairer. Non seulement l’intelligence ne protège pas de l’erreur, soutient Fitoussi, mais elle y prédispose. La virtuosité argumentative est souvent mise au service de la mauvaise foi, l’idéologie empêche le cerveau de fonctionner correctement, et le conformisme, le désir d’approbation et les excès de certitudes détournent de la quête de vérité. Fitoussi nous avertit : il est toujours plus facile de déceler les égarements du passé - une fois l’histoire écrite - que les aveuglements collectifs du présent. Un essai nourri à la pensée de George Orwell, Jean-François Revel, Raymond Aron, Thomas Sowell, Steven Pinker et bien d’autres encore, appuyé par une riche littérature scientifique et une foule d’exemples historiques et contemporains. Érudit et passionnant.