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Né à Paris, Paul Gilson a quarante-six ans. Dès 1928, il débute dans la presse, en dirigeant la page de l’écran d’un quotidien et fait partie de la première équipe de la Revue du Cinéma. Par la suite, il se consacra à des petites enquêtes, qui le mènent aussi bien dans un village de Lilliputiens qu’à l’Académie de Magie, et à des grands reportages qui l’entraînent tour à tour en Afrique, en Amérique, et dans tous les pays de l’Europe. Entre deux voyages, il publie "La traversée de miroir", une traduction de l’œuvre de Lewis Carroll. Adjoint au rédacteur en chef de Radio-Luxembourg vers 1936, Paul Gilson figure parmi les producteurs du « Banc d’essai », dont les programmes sont voués aux recherches radiophoniques. On lui doit, entre autres, dans cette série : "Les voix en peine" et "Le congrès des automates". En 1942 et 1943, le C.A.T.J.C. de Nice lui permet de tourner des films, où le documentaire se mêle à la fiction, tels que "Mémoires des maisons mortes", dont il est à la fois le scénariste, le metteur en scène et le commentateur. Au lendemain de la Libération, Paul Gilson devient délégué de la Radiodiffusion française aux États-Unis et, depuis la fin de 1946, assure la direction des services artistiques de la R.D.F. (« par goût de l’insolite » affirme Fernand Pouey dans le « Dictionnaire des contemporains »). Quel que soit le mode d’expression qu’il adopte, l’auteur de "Merveilleux" ne vise que la poésie. En témoignent une histoire pour enfants comme "La boîte à surprises", une pièce de théâtre comme "L’homme qui a perdu son ombre", inspirée du récit de Chamisso, et son dernier ouvrage intitulé "Ciné magie", à propos duquel René Clair écrit que « Paul Gilson voit le réel et le transforme en illusion d’optique ». On trouvera, groupés dans le présent recueil : À la vie à l’amour, Au rendez-vous des solitaires et Ballade pour fantômes, les poèmes pour lesquels le prix Guillaume Apollinaire lui a été attribué, en 1951, à l’unanimité des voix du jury.