Alors que la christianisation de l'Empire romain avait pratiquement
banni les pierres tombales, leur réapparition au Moyen Âge
donne l'occasion aux artistes et aux commanditaires de s'exprimer.
C'est à partir de la fin du Xe siècle que la plate-tombe et le gisant
s'imposent. Ainsi, le monument funéraire va faire l'objet de
recherches artistiques parfois déroutantes destinées d'une part à
témoigner du rang social du défunt et d'autre part, à véhiculer son
ultime message.
En analysant la forme et la fonction des monuments funéraires, l'auteur
aborde les particularités des mentalités médiévales, la relation à la mort et,
par-delà, la conception de la vie.
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