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Découvrir la noblesse de l’odorat et apprendre à être un philosophe nez : tel est le but de ce livre, qui fait d’un sens négligé un objet de réflexion à part entière. L’entreprise de réhabilitation de la sensibilité olfactive passe par la remise en cause des préjugés sur l’odorat, sa prétendue faiblesse ou son caractère primitif, incommode et immoral. Elle se fonde sur la découverte du rôle décisif des odeurs dans la constitution de la mémoire et de l’affectivité ainsi que dans la construction de l’identité et de l’altérité. Elle implique aussi la promotion d’un véritable art olfactif dépassant le simple usage cosmétique des parfums. L’élaboration d’une esthétique olfactive repose à la fois sur la recherche des expressions artistiques de l’odeur dans la littérature, la musique ou les arts plastiques, et sur l’examen des tentatives passées et présentes de créer un pur art des parfums. Exprimant l’idée dans l’odeur, cette esthétique olfactive sous-tend également la spéculation philosophique en offrant des modèles de pensée dont Lucrèce, Condillac et Nietzsche, se sont inspirés. Preuve s’il en est que philosopher, c’est avoir du nez.