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Un ouvrage décapant qui démonte avec intelligence et humour les mirages du mérite, gage de la réussite.
Le geek suprême, Steve Jobs l'a écrit : « Je suis convaincu que la moitié qui sépare les entrepreneurs qui réussissent de ceux qui échouent est purement la persévérance. »
Une manière de dire que la réussite serait une question de volonté : quand on veut, on peut ! Les gens qui réussissent le doivent à leur travail et à leurs efforts, et les gens qui échouent considérés comme des ratés, n'auraient tout simplement aucune volonté. Dans la vie, tout ne serait donc qu'une affaire de mérite personnel.
Dans cet essai vivifiant, Gille Vervisch décortique la croyance dans le mérite omniprésente à notre époque. Certes, elle peut s'avérer être un moteur pour entreprendre. La « méritocratie » assurant une égalité des chances pour permettre aux plus méritants de s'en sortir semble tout à fait juste.
Mais cette croyance dans le mérite n'est-elle pas aussi illusoire que dangereuse ? Qu'est-ce que réussir sa vie ? Une vie réussie est-elle forcément celle d'un startuppeur ? Est-il bien vrai que la vie ne nous offre que ce que nous méritons ? En définitive, la croyance dans le mérite permet surtout de culpabiliser « ceux qui ne sont rien », et de tranquilliser ceux qui ont réussi, souvent privilégiés, convaincus qu'ils n'ont de compte à personne.
Un essai décapant et facétieux, à rebours des poncifs de la pensée dominante sur la méritocratie.