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Le premier jour, Sid Ahmed a dit : « Le mot c'est « perdu ». Nous sommes des « perdus ». SDF ça veut rien dire. » Le ton était donné. Ulysse était déjà parmi nous. Et, pendant six mois, l'écriture ne fera que confirmer ce qui est déjà dans le livre d'Homère. Non pas illustration. Ni même commentaire du mythe. Mais comme si l'expérience de chacun de ces « perdus », venus faire halte à la Maison de la solidarité de Gennevilliers, devait apporter une sorte de preuve. Homère avait dit vrai. Les cris, les espoirs, et les désastres de l'Odyssée du héros grec n'avaient rien de si extraordinaires. Il n'avait fait que décrire le chemin des perdus. Et leurs voyages. Ces voyages, que les photographies, ici, vont tenter d'accompagner. Voyages du quotidien. Voyages dans l'intime, aussi, à travers les objets et les signes, les traces et les souvenirs. Tout ce qui peuple la solitude de l'errance, jusqu'à parfois la justifier.