Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Un écrivain qui a renoncé à son œuvre, Louis Gaubert, sa maîtresse Léna, mannequin-vedette mourant de leucémie, Despérant, un journaliste d’une feuille à scandale, se heurtent, s’affrontent, se reconnaissent dans ce puissant roman qui n’est pas seulement celui de la maladie physique mais aussi, mais surtout, le roman de la misère spirituelle de notre époque. De cette misère, dont Gaubert et Despérant ont une expérience tout intérieure, qui les conduit au désespoir, un autre homme, propagandiste d’une secte religieuse, a, lui, une connaissance directe, quotidienne ; cet homme ébranle Gaubert — sans le convaincre — incite Despérant à se convertir, ne réussit pas à transmettre à Léna un peu de sa foi conquérante… Le Dieu de Léna, c’est et cela restera jusqu’au bout Paris : Paris-le-Monde où Louis Gaubert promène en voiture, une dernière fois, la malade fascinée par les lumières et le bruit ; Paris, magnifique et mortel, lieu de gloire et de malheur, lieu choisi par quelques apôtres isolés comme champ de combat et de mission. En effet, ces isolés, ces nouveaux fous de Dieu existent, que Roger Bésus oppose aux indifférents de plus en plus nombreux. Ils existent si bien, ils existent si fortement, qu’on ne peut plus négliger leur message. Un message fait pour les Léna, les Despérant, les Gaubert, fait pour l’individu et pour la foule ; et qui, après la Vie au sérieux, le Témoin, Ceux qui aiment, apporte confirmation du talent complexe et intense de Roger Bésus, grand romancier visionnaire.