C'était un jour de paix.
Les copains étaient allongés sur la plage en Sicile, le crâne ou la poitrine ouverts,
La guerre était finie.
On avait dit au vieil homme : traverse le grand fleuve !
Il regardait, derrière le bateau, s'estomper les sommets violacés qui trempaient leurs racines dans la mer.
Il laissait le village aux matins de roses et aux soirées d'étain.
« J'ai assez bourlingué mais n'oubliai jamais la poésie. »
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