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Ce livre raconte une fable ; une fable philosophique dont les protagonistes principaux sont un tableau de Nicolas Poussin peint à Rome en 1658, Orion aveugle marchant vers le soleil levant, et le Zarathustra de Nietzsche (1883). De la rencontre de ces deux œuvres exceptionnelles naît le troisième personnage : le surHomme. Nietzsche lui donnait un autre nom : le Dernier homme – l’homme qui a « inventé le bonheur ». Dans le tableau de Poussin, personne ne prête attention à ce surHomme, pourtant bien visible sur les épaules du géant Orion. Son nom est Céladion. C’est qui le surHomme ? C’est vous et c’est moi ; c’est l’Homme devenu « maître et possesseur de la nature » et qui pèse sur la Terre du fait d’avoir à porter ce surpoids sur ses épaules. Comme toute fable, celle-ci a sa morale : pour reprendre possession de son destin, l’Homme, un moment aveuglé, doit impérativement faire descendre de ses épaules le surHomme. Autrement dit, il doit se surmonter – comme s’il devenait surhumain.