Des hommes nus, vivant parfois à même le sol, ignorant le feu et se nourrissant de viande crue, une communauté de « sauvages » qui fait irréversiblement penser aux aborigènes décrits par Sigmund Freud dans Totem et Tabou. A la différences près, que ces sauvages observés de l’intérieur par l’ethnologue et ethnographe Hans Staden, peuvent également s’avérer être des sauvages féroces, cannibales ou anthophages...
«Dans l'histoire de l'ethnologie, on connaît peu d'aussi beaux cas d'observation participante.» Emmanuel Todd, Le Monde.
« Ce n’est pas le seul document qui nous ait permis de connaître les coutumes cannibales de certains peuples d’Amérique, mais l’intérêt du récit de Staden vient de ce qu’il a vécu, de l’intérieur, la situation d’un guerrier vaincu. » Stéphane Deligeorges, Nouvelles littéraires.
« Un extraordinaire document connu depuis longtemps, mais resté dans les archives, qui nous montre la rencontre de l’Occident du XVIe siècle avec les cultures anthropophages. » Catherine Clément, Le Matin.
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