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Que se veulent-ils ? Pourquoi continuent-ils à se parler ? Frédérik et Louise, qu'une confusion des lignes téléphoniques a mis en contact par hasard, et qui ne se décident pas à couper le fil. Deux solitudes - l'un et l'autre sortent d'une aventure d'amour malheureuse -, deux échecs, mais ce n'est pas pour essayer de se raccrocher l'un à l'autre, de se sauver l'un par l'autre, qu'ils restent mutuellement à l'écoute. Là est la force du travail de François-Marie Banier : rien ne se "nouera" entre Frédérik et Louise, selon les recettes de la vieille rhétorique théâtrale. Ces deux solitudes, jusqu'au bout, resteront deux solitudes ; et leur échange, une vaine tentative de communication. La femme, plus magique, plus habituée à son désert, sachant le peupler de ses rêves ; l'homme, plus désemparé, plus maladroit. Mais l'une et l'autre n'ayant guère plus d'existence que des ondes captées sur le fond bruissant d'une ville en pleine désagrégation, qui pourrait bien être Tanger, avec ses deux faces tournées vers deux mers.