En 1970, Jean-Pierre Martin est incarcéré à la maison d’arrêt de Saint-Nazaire pour apologie du crime d’incendie volontaire. Il a distribué un tract justifiant l’attaque au cocktail Molotov de la direction des Chantiers de l’Atlantique, en réplique à une série d’accidents du travail qui ont entraîné la mort de plusieurs ouvriers. Il a 22 ans.
En 2024, il publie le récit de ses 61 jours de mitard.
Parce qu’il ne veut pas oublier.
De quoi parle ce livre ?
D’une révolte qui n’est toujours pas éteinte.
De la solitude du militant de base.
De la violence, et du désir de changer le monde.
Enfin, de l’amitié entre un étudiant établi en usine et un ouvrier des Chantiers de l’Atlantique.
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