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Tome IV : W, comme Wien. C'est dire la part donnée dans cette quatrième partie de Narration d'équilibre (Hachette POL, 1982) à Vienne où le narrateur a fait de fréquents et longs séjours. C'est un peu comme si quelqu'un (un analyste?) retrouvait une vieille boîte contenant les fiches des séances d'une analyse étrange. C'est un peu comme si l'auteur essayait d'introduire dans l'écriture – en même temps – la verticalité et l'horizontalité. Le narrateur est en effet couché, allongé dans le sommeil et il est debout puisqu'il marche désespérément dans les rues de Vienne pour aller jusqu'au bout du drame qu'il ne parvient à éclaircir tout à fait en dépit de la marche forcenée et du sommeil dont il tire toutes les images de l'intrigue. Tome V : New York. Un homme longe l'Hudson et suit une tache jaune qui flotte au milieu du fleuve. Elle va développer dans son sillage une force d'intrigue dont le mouvement amène le narrateur à s'interroger sur l'image, sur sa formation génératrice des trames du récit. L'image se transformant en plaque sensible progressivement capte les fragments, les phénomènes du réel pour laisser apparaître les éléments diphractés par l'écriture. Alors que la pensée élucide l'instant, la vitesse de la langue renvoie au temps de l'enfance, et plus loin au temps de l'antériorité. Tout le livre se développe donc comme un itinéraire et géométriquement comme un jeu de dominos, à travers lesquels visions, récits, souvenirs, illuminations induisent à un autre temps, où les plans d'une vie comme les plaques noires des dominos disposent le long de l'espace des énoncés de notre secret.