«Il est parfaitement vrai que je n'aime pas Napoléon Bonaparte»,
nous prévient Henri Guillemin, avouant qu'il a «dû faire à son
égard un sérieux redressement personnel» tant il avait été mis en
condition sur son compte, comme tous les élèves français.
Celui qu'il appelle «le petit chacal» et qu'il n'hésite pas à qualifier
de «gangster» se révèle effectivement, au fil des pages, un
personnage loin de l'image officielle : réellement antipathique.
D'Ajaccio à Sainte-Hélène, rous bénéficions ici d'une salubre leçon
d'histoire.
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