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"Je sortais des Italiens et me promenais à grands pas sur les allées du Palais-Royal. Mon âme, agitée par les sentiments vigoureux qui la caractérisent, me faisait supporter le froid avec indifférence ; mais, l’imagination refroidie, je sentis les ardeurs de la saison et gagnai les galeries. J’étais sur le seuil de ces portes de fer quand mes regards tombèrent sur une personne du sexe. L’heure, sa taille, sa grande jeunesse ne me firent pas douter qu’elle ne fût une fille. Je la regardais. Elle s’arrêta, non pas avec cet air cavalier, mais un air convenant parfaitement à l’allure de sa personne.
Sa timidité m’encouragea. Je lui parlai, je lui parlai, moi qui, pénétré plus que personne de l’odieux de son état, me crois toujours souillé par un seul regard. "
À PROPOS DE L'AUTEUR
Louis Claude Frédéric Masson, né à Paris le 8 mars 1847 et mort à Paris le 19 février 1923, est un historien français, spécialiste des études napoléoniennes et secrétaire perpétuel de l'Académie française. Issu d'une famille de hauts magistrats, sa sœur mariée à Édouard Lefebvre de Béhaine, Frédéric Masson se destinait à la diplomatie et devint bibliothécaire au ministère des Affaires étrangères. En 1886, il fonde la revue Les Lettres et les Arts, qui paraît du 1er janvier 1886 au 1er décembre 1889.
À partir de 1894, Frédéric Masson se consacre principalement aux études napoléoniennes dont il devient, en son temps, le spécialiste incontesté, régnant sur une armée de secrétaires et de documentalistes dans son vaste appartement du 122 la rue La Boétie à Paris, puis dans son hôtel particulier de la rue de La Baume.
Il est élu à l'Académie française le 18 juin 1903, en remplacement de Gaston Paris, et reçu le 28 janvier 1904 par Ferdinand Brunetière. Il en devint le secrétaire perpétuel le 20 mai 1919.