Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
We gebruiken cookies om:
De website vlot te laten werken, de beveiliging te verbeteren en fraude te voorkomen
Inzicht te krijgen in het gebruik van de website, om zo de inhoud en functionaliteiten ervan te verbeteren
Je op externe platformen de meest relevante advertenties te kunnen tonen
Je cookievoorkeuren
Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Mussolini a marqué son temps. Sur le plan des grands courants de pensée politique, comme sur celui de l’influence directe sur les événements, il se détache du peloton des destins hors-série. Hitler, malgré son orgueil, l’a longtemps reconnu pour son maître, il a été influencé par ses doctrines et le mot fasciste est entré dans le vocabulaire mondial pour étiqueter une certaine forme d’action politique. Il est bien certain, d’autre part, que si Mussolini avait orienté ses alliances dans un autre sens, le cours des événements en aurait été changé ; il a laissé la voie libre à Hitler. En outre, pendant des années, malgré les réactions hostiles, il a imprimé sa marque sur son pays. C’est cette personnalité que ressuscite Georges-Roux. Les dossiers importants sont maintenant sortis des archives, les témoins ont parlé. Le moment était donc venu d’assembler cette documentation dans une grande biographie. Georges-Roux s’est attaché avant tout à faire revivre l’homme sur la toile le fond de son temps. Qui était Mussolini ? Comment vivait-il ? Quelle était sa formation ? De quelle façon gouvernait-il ? La réponse à ces questions explique aussi le destin d’un peuple. La personnalité nous intéresse comme celle de ceux qui ont la responsabilité de millions d’êtres humains. Georges-Roux en suit le développement dans le récit biographique depuis les années difficiles de la jeunesse, la guerre de 1914, les premières luttes comme journaliste et partisan politique. Puis, à partir de la fondation du fascio, l’histoire du Duce se mêle souvent étroitement à celle de son pays. Après la marche sur Rome, et l’organisation des Chemises Noires s’installe le régime fasciste. Pendant vingt ans le Duce va régner sur l’Italie. Presque à chaque page les éléments dramatiques se succèdent. On ne peut, une fois commencés, abandonner les chapitres tant ils nous entrouvrent la réalité la plus passionnante et la plus dramatique, dans le domaine de la vie privée et publique. Georges-Roux nous raconte les événements comme s’il les avait vécus, en reporter doublé d’un historien exigeant et qui a le sens des grands ensembles. Voici les rapports avec l’Allemagne, les hésitations de 40, l’entrée en Albanie, les difficultés intérieures, la séance du Grand Conseil où les chefs fascistes retirent leur confiance à leur chef, l’entrevue avec le roi Victor-Emmanuel, l’arrestation, la délivrance du Gran Sasso par des parachutistes SS, le gouvernement fantôme de l’Italie du Nord, la condamnation et l’exécution de Ciano, la fuite dans un camion sous l’uniforme allemand, l’arrestation par les résistants, les dernières heures, la fusillade de Mussolini et de Clara Petacci sur les bords d’un beau lac italien, l’ignominieuse exposition des corps à Milan... Tous ces faits, racontés comme des scènes de roman, mais d’un roman vécu, appuyé sur des pièces d’archives, prennent une allure shakespearienne. L’historien a su rendre avec une intensité bouleversante le pathétique ; en même temps, il a sans cesse mis en arrière-plan de ce destin qui a connu la gloire et les pires détresses le récit des faits. Nous avons ainsi à la fois la biographie la plus riche en épisodes et l’histoire d’une époque.