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« Ce sont les décisions anodines, celles qui se glissent dans le quotidien sans qu’on les remarque. Ce sont elles qui nous tuent. » 1976. C’est l’été sur l’Avenue. Alors qu’une redoutable canicule s’insinue dans les cours et les jardins, dans le moindre interstice de vies comme mises entre parenthèses, une voisine disparaît. Tandis que Grace et Tilly mènent l’enquête, les esprits s’échauffent, les langues se délient, les souvenirs remontent à la surface – les souvenirs, et la culpabilité. Car dix ans plus tôt, quelque chose est arrivé dans cette rue bien comme il faut. Quelque chose de terrible. Et face au vide causé par la disparition de leur voisine, Sheila, Petit Brian, Harold et tous les habitants de l’Avenue sont forcés de faire face au vacarme assourdissant de leurs propres doutes. Chacun à leur tour, ils vont se quereller, se jeter leurs vieilles rancœurs au visage et s’épier les uns les autres, bien à l’abri derrière leurs portes closes... Qu’est-il arrivé à Margaret Creasy? Que cache l’anxiété des voisins ? Et qu’est-ce que Walter Bishop, l’inquiétant occupant du numéro 11, a bien pu leur faire, pour qu’ils gardent une telle dent contre lui ?
Joanna Cannon brosse, avec cette comédie de mœurs à l’écriture acidulée, un portrait fin et grinçant de la vie en communauté dans une rue qui pourrait être la nôtre et qui, en cela, n’est pas sans rappeler les romans de Maggie O’Farrell et Joseph Connolly.