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En 1965, après un magistral exploit au Cervin, le plus grand alpiniste de son époque met fin à une carrière inouïe. À 35 ans, Walter Bonatti abandonne la verticalité extrême pour se « jeter dans le monde à 360 degrés ». Il devient alors photo-reporter pour l’hebdomadaire Epoca et sillonne la planète. De l’Alaska au cap Horn, de la Sibérie à l’Afrique méridionale, du Sud-Est asiatique à la Nouvelle-Zélande, et jusqu’à l’Antarctique, il explore les contrées alors les plus reculées et les plus sauvages et en rapporte des récits palpitants, des images rares. Pour ce premier grand reportage, paru en 1966, Bonatti s’engage sur les traces de son auteur favori, Jack London, dans le Grand Nord américain : il emprunte la route des chercheurs d’or dans le Klondike puis pagaye pendant près de 2 500 kilomètres sur le fleuve Yukon. « L’aventure est un engagement de l’être tout entier et sait aller chercher dans les profondeurs ce qui est resté de meilleur et d’humain en nous. » Ses articles parus dans Epoca sont traduits ici pour la première fois en français.