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Schéhérazade des bas-fonds, selon l'heureuse expression d'un critique, Arfia donne la comédie à de pauvres diables en recréant des épisodes de sa vie au maquis (algérien). Quelle est la part de l'invention et celle du réellement vécu dans ses évocations burlesques et terribles ? Difficile à savoir. Le problème n'est pas là. À ce passé répond le présent. Arfia partage la méchante existence des miséreux qui se rassasient chaque soir de son spectacle. Mais, un soir, tout se confond tragiquement, présent et passé, affabulation et réalité. Qu'est-il arrivé ? Difficile à savoir. Le problème est là. On peut présenter ainsi cette pièce. On pourrait y voir aussi une tentative de théâtre différent, par le fait que la parole y produit les personnages, les événements, qu'elle est le lieu de l'action et de l'Histoire, et non l'inverse comme cela se passe d'habitude. Ce qui importe alors, c'est d'observer comment cette parole se met elle-même en scène en vue d'un sens — pas toujours sûr.