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Faute d’un enseignement particulier, la médecine générale apparaît comme la parente pauvre de la profession, voire la branche des ratés de la Faculté. C’est pourtant le médecin généraliste auquel on s’adresse quand « ça ne va pas ». Ce médecin, si proche par sa fonction, et en même temps si lointain pour certains qui ne savent pas comment s’adresser à lui, qui est-il ? Comment voit-il son rôle et que souhaite-t-il ? Jean Carpentier, médecin généraliste « de quartier », montre - à partir de cas concrets - que les symptômes de la maladie expriment un mal-être plus complexe que la maladie elle-même, et qu’il n’est pas facile de l’interpréter. Aucune formation ne prépare à ce rôle, et la bonne volonté ne suffit pas. La médecine actuelle, trop compartimentée, échoue souvent à répondre au « langage » de la maladie, de même que le malade échoue à s’exprimer autrement que par des symptômes. Comment être (et comment former) un médecin qui puisse briser tant d’incompréhension, sans pour autant risquer son propre équilibre à force de vouloir se mettre à la place de son patient ? C’est là que le réseau de quartier peut jouer un rôle de relais. Sans se substituer à l’équipe médicale, ce réseau de convivialité devrait permettre de dénouer des tensions, et d’établir une distanciation telle que la maladie soit réinstallée sur sa véritable scène. Une réflexion lucide et généreuse sur un des grands problèmes de notre société.