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Hubert Duprat (1957) s'est fait connaître à partir des années quatre-vingt avec les larves aquatiques de Trichoptères lesquelles ont la particularité de se confectionner un étui avec des petits cailloux et des brindilles fixés par une soie qu'elles sécrètent. En substituant ce qui leur sert habituellement à la confection de leur cocon et en altérant leur environnement en y plaçant des paillettes d'or, des opales, des turquoises et des perles de toutes sortes, l'artiste avait opéré un glissement qui transformait l'insecte en joaillier afin de reproduire un nouvel étui avec les seuls matériaux dont il disposait. La larve fabrique ainsi son cocon avec les matériaux mis à sa disposition par l'artiste. L'oeuvre de Hubert Duprat est largement présente dans les collections publiques françaises et a été montrée à la Fondation Cartier à Paris en 1998, la même année au PS1
à New York ainsi qu'au Mamco à Genève en 1999.
Hubert Duprat a choisi depuis quelques années de se faire plus rare en terme de production et de monstration de son oeuvre. En l'invitant, le Centre international d'art et du paysage de l'île de Vassivière a proposé une exposition ("Massive centrale", juillet 2008 - janvier 2009) entièrement constituée de nouvelles productions, qui a démontré la coexistence - chère à Hubert Duprat - d'un réseau serré de relations interdépendantes, de la nature et de l'artifice, de la compacité et de la transparence. Le catalogue publié aujourd'hui permet de revenir sur cet ensemble merveilleux, prodigieux et insaisissable qu'avait exposé Hubert Duprat au coeur de l'Ile de Vassivière, une réappropriation inédite de ce lieu vertigineux.